Nous habitons dans un appartement au nord de la ville, en face d’un stade de foot (soccer) qui nous baigne de sa lumière chaque soir. Pour aller dans le Quito touristique, on doit prendre un bus ou un taxi. Les taxis sont très abordables, mais l’autobus encore plus (25 cents le trajet). Donc on s’est habitués à ce moyen de transport, moyennant quelques concessions au niveau du confort.
Dans le quartier historique de Quito, on trouve des rues en pente,
des beaux bâtiments d’architecture coloniale, et plein d’églises hautes en couleur.
Une des fois où on a visité le quartier, nous nous sommes retrouvés par hasard au beau milieu de la cérémonie officielle de la relève de la garde, événement hebdomadaire si je ne m’abuse, en présence du président Rafael Correa, qui apparemment galvanise troupes et public.
Moi qui pensait que c’était un événement organisé en grande partie pour les touristes, je m’étais trompé. Les Équadoriens formaient la majeure partie du public. Certaines femmes près de nous levaient leurs bras vers le président en implorant, les autres chantaient leur hymne national les yeux levés vers le balcon présidentiel… Un patriotisme auxquels ni la France ni le Canada ne nous avaient habitués…
Intéressant. Quito baigné de soleil, ça change de nos quatre jours de beau temps de ce mois de Juillet. J’aime beaucoup le sourire mi sérieux mi désabusé d’Anaïk dans l’autobus.
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Pas trop le souffle court dans la 2e capitale la plus élevée du monde? Si vous cherchez une destination agréable plus au sud (5 h de bus), Baños est pas mal et c’est un bon point de départ pour une incursion dans la jungle amazonienne… Je vous envie d’être là-bas!
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Tiens donc: je vois que vous y êtes maintenant rendus!! Pour une visite dans la jungle, si ça existe encore: Sebastian Moya, de l’agence Tzan Tsa (ou Tsan Tza?)
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